Quelle finition appliquer sur un plancher en bois ?
Un plancher en bois est un matériau “vivant”, c’est-à-dire qu’il va interagir avec son environnement :
- Selon la température et l’hygrométrie de la pièce, le bois va se dilater, se rétracter
- Ses tanins vont avoir naturellement tendance à remonter en surface et être sensibles aux UV
- Le bois est un matériau tendre, poreux et sensible aux passages répétés. Sans protection, il se tâche facilement et absorbe très bien les liquides
On le voit, un plancher en bois a besoin d’une bonne protection pour conserver son aspect esthétique et le protéger d’une usure prématurée due au trafic, aux tâches, aux projections de liquides.
Quelles sont les finitions des parquets en bois ?
Il existe 3 types de finition pour les planchers en bois : la vitrification, l’huile et la cire.
Chacune de ces finitions va apporter des nuances différentes au parquet et demander plus ou moins de travail dans leur application et leur entretien.
C’est ce que nous allons développer pour chaque finition pour que vous ayez toutes les informations nécessaires avant de vous lancer dans cette opération. Nous allons le faire selon plusieurs critères :
- La résistance à l’humidité
- La résistance au trafic
- La résistance aux tâches et aux projections de liquides
- L’aspect esthétique
- La mise en oeuvre
- L’entretien
- La rénovation
- La toxicité des produits
Selon la pièce où se trouve le plancher, séjour, chambre, salle de bain, sauna, les contraintes sur le bois ne seront pas les mêmes. Par exemple, le bois va plus se dilater dans une salle de bain où l’humidité est importante, que dans un salon ou une chambre.
Pour chaque finition, nous allons détailler les avantages et les inconvénients selon les différents critères.
La résistance à l’humidité
Le vitrificateur est à proscrire pour des pièces devant subir de fortes variations de température et d’humidité comme la salle de bain ou le sauna. Le film “plastique” de surface va se faïencer et devenir poreux.
L’huile résiste mieux à l’humidité et aux différences de température. C’est un produit qui, par sa nature même, va suivre naturellement toutes les déformations et dilatations du bois. Si la variation d’hygrométrie est importante, l’huile pénètrera alors plus profondément dans le bois. Ce qui demandera régulièrement un léger renouvellement de l’huile sur la surface du plancher.
La cire n’est pas conseillée dans les pièces humides. Comme c’est un produit qui reste en surface, elle devient vite poisseuse lorsque l’humidité et la chaleur sont importantes.
La résistance au trafic
Les produits de protection des planchers en bois vont bien résister au piétinement répété :
Les vitrificateurs laissent au séchage une couche dure de surface plus ou moins épaisse. La qualité de cette couche “plastique” va déterminer la résistance à l’usure et aux rayures de la vitrification. Ce qu’il faut remarquer, c’est une plus haute résistance des vitrificateurs solvantés par rapport à ceux en phase aqueuse.
Les vitrificateurs sont des vernis adaptés à une application sur des sols. Ils demandent un entretien sur les zones à fort traffic. La plupart du temps on utilise des rénovateurs métallisant. Si le plancher vitrifié n’est pas entretenu, à plus ou moins long terme, des signes d’usure préjudiciables vont apparaitre : matification et blanchiment de la surface, rayures, …(voir les chapitres entretien et rénovation des parquets vitrifiés).
Les huiles ont une bonne résistance à l’usure. Mais dans les pièces à fort trafic, les huiles dures et les huiles-cires seront les plus appropriées. Les huiles végétales les composant offrent une très bonne résistance de surface, assez proche d’un vitrificateur. Mais il faut remarquer que, contrairement à un vitrificateur qui laisse un film “plastique” dur sur la surface du plancher, une huile ne reste pas en surface. Elle pénètre doucement dans le bois, laissant la surface sans protection si on ne l’entretient pas régulièrement par un renouvellement de l’huile (voir chapitre sur l’entretien des planchers huilés).
Les cires sont des protections de surface résistant bien à l’usure. Elles pénètrent peu dans le bois. Les cires vraiment adaptées aux planchers contiennent de la cire de carnauba. Cette cire végétale permet de donner une dureté à la surface cirée.
Les piétinements répétés vont peu à peu user la couche protectrice de surface. Il faudra alors renouveler la cire aux endroits décolorés (voir chapitre sur l’entretien des parquets cirés).
La résistance aux tâches et aux projections de liquides
Les vitrificateurs créent au séchage une couche dure à la surface du plancher. Elle va protéger le bois de toute infiltration de liquide et faciliter le retrait des tâches. Néanmoins, les vitrificateurs sont sensibles aux produits solvantés et amoniaqués, ainsi qu’à certains détergents.
Cette protection de surface est un des avantages de la vitrification. Mais, avec le temps, le plastifiant de surface s’use et, parfois, se faïence. À partir de là, le vitrificateur devient poreux et ne fait plus barrière aux liquides. Les tâches sont de plus en plus difficiles à retirer. Il faut alors enlever le vitrificateur.
L’huile et la cire seules ne sont pas des barrières efficaces contre la pénétration de liquide dans le plancher. Si le bois est bien nourri régulièrement, le liquide va rester quelques minutes à la surface. Il faut rapidement l’éponger avant sa pénétration par capillarité dans le bois du plancher.
On pourra améliorer la protection contre les tâches et la pénétration de liquide en appliquant au préalable une huile dure. Cette dernière viendra protéger les fonds. Mais en gardant à l’esprit que l’on est toujours en présence de produits non filmogènes. L’huile dure et la cire ne créent pas de barrière totalement imperméable.
Avant une finition cirée, on peut appliquer un fond dur qui va durcir le bois en profondeur. Cette impression des fonds va créer une barrière à la pénétration des liquides. Mais ce fond dur interdit l’application d’une huile qui demande un bois complètement poreux.
L’aspect esthétique
Un vitrificateur va donner au plancher un aspect de surface uniforme. Le veinage du bois est peu mis en valeur. On peut teinter le bois avant l’application du vitrificateur. Ce qui peut donner des effets décoratifs infinis.
Si l’on utilise un vitrificateur incolore, le bois conservera son aspect clair, légèrement “réchauffé”. Mais pour le conserver, l’application d’un fond dur avant le vitrificateur permet de conserver au bois la nuance la plus claire possible (voir chapitre sur la mise en œuvre de la vitrification).
Qu'est ce qu'un fond dur ?
Un fond dur est un traitement préparatoire appliqué sur le bois, similaire aux sous-couches en peinture. Transparent, il imprègne en profondeur les fibres du bois, renforçant sa dureté et sa stabilité. Idéal pour les bois intérieurs, notamment résineux et exotiques, il sert à imperméabiliser et durcir le support avant une finition comme la peinture ou le vernis. Il diffère des vernis et assure une surface propre, lisse et prête à recevoir la finition choisie.
Une huile, en pénétrant profondément dans le bois, va interagir avec la matière pour en rehausser les nuances et le veinage. C’est un de ses atouts majeurs. Elle va donner au bois un aspect soyeux, agréable au toucher, et rehausser le dessin du bois.
Mais en s’imprégnant dans le bois, l’huile va faire remonter les tanins et plus ou moins foncer le bois. C’est surtout le cas sur les anciens planchers en chêne ou en châtaignier.
On peut contrer cette particularité en appliquant un primaire avant la pose de l’huile. Grace à cette barrière, l’huile n’interagira plus avec les tanins du bois et tous les résidus de l’ancienne finition.
Appliqué sur le plancher après le ponçage, un vieillisseur pour bois va donner au plancher huilé un aspect délavé, proche du bois flotté (voir chapitre sur la mise en œuvre d’une huile).
Certaines huiles très décolorées se destinent aux bois clairs et permettent de conserver l’aspect originel de ces bois.
Une cire va donner au plancher une finition très chaleureuse, allant du satiné au très brillant selon le lustrage effectué.
Une cire ne laisse pas le sol vraiment incolore. Elle vient interagir avec le bois et en “réchauffer” la teinte initiale.
On peut teinter le bois avant une cire pour le parquet. Mais cela demande d’appliquer une huile dure, ou un fond dur, entre la teinte et la cire (Voir chapitre sur la mise en œuvre de la cire).
Un vieillisseur peut être appliqué avant la cire. L’aspect final sera proche du vitrificateur et moins naturel qu’en utilisant une huile.
Les nuances de couleur des produits
Les produits appliqués sur le plancher vont rarement être totalement incolore et vont souvent modifier la coloration du bois. Cela est surtout visible sur des bois anciens.
Les vitrificateurs et les fonds durs incolores ne donnent pratiquement pas de coloration aux bois. Sur les bois anciens, un fond dur avant le vitrificateur empêchera la remontée des tanins, donc l’assombrissement du bois. Sur certains chêne neuf, c’est une précaution que l’on peut également prendre pour maximiser le maintien d’une teinte claire plus longtemps.
Les huiles vont toujours apporter un peu de coloration aux bois. Elles interagissent avec les tanins du bois et vont en réchauffer les nuances. Certaines huiles très décolorées, comme les teintes effet naturel et bois brut de l’huile Environnement de Blanchon, parfaitement adaptées aux bois très clair, ne vont pas du tout foncer le bois. Elles vont juste légèrement réhausser les dessins du bois.
Les cires appliquées directement sur le bois vont en blondir la nuance. Surtout si l’on applique des cires naturelles. Lorsque l’on utilise des cires émulsionnées (nettoyage des outils à l’eau), la coloration du bois sera moins prononcée qu’avec une cire naturelle. Mais leur résistance aux passages est plus faible, car elle ne comporte pas de cire de Carnauba.
Si l’on souhaite atténuer cette coloration, il faut appliquer soit une huile dure, soit un fond dur selon le type de cire (voir le chapitre sur La Mise en Oeuvre)
La mise en oeuvre
Le vitrificateur
La plupart des vitrificateurs monocomposant s’appliquent au rouleau ou au spalter, sur des bois préalablement poncés.
Ce qui est important, c’est de procéder à la vitrification de l’ensemble de la surface. Il ne faut pas stopper l’application, laisser sécher, et venir reprendre ensuite. La reprise d’une zone laissera une différence d’aspect bien visible et irrattrapable.
Avant l’application, il ne faut pas utiliser d’éclaircisseur, détergent ou nettoyant pour parquet.
L’application se fait en 3 couches, avec un léger ponçage au grain 120 entre les couches.
Si une teinte ou un vieillisseur est mise avant le vitrificateur, il faudra appliquer un fond dur afin de bloquer la teinte et empêcher les remontées des tanins du bois.
Cette utilisation d’une couche de fond est vraiment recommandée sur des planchers anciennement cirés, huilés ou ayant d’anciennes teintes.
Important :
Il faut être vigilant sur le taux d’humidité du bois. Il devra être inférieur à 10%. La température de la pièce ne devra pas être inférieure à 12°, l’idéal étant 19/20°.
L’huile
L’huile classique s’applique la plupart du temps en un ou deux passages jusqu’à saturation du bois. Il faut essuyer au fur et à mesure de l’application et surtout en couche fine, sans surplus.
Elle demande à être travaillée en petites zones afin de bien contrôler l’imprégnation et l’essuyage. Une huile que l’on laisserait sécher en surface, sans essuyage, créerait un glacis qui nuirait à l’aspect final. Ce glacis peut rester collant et poisseux très longtemps avant de sécher.
Un léger ponçage de la surface avant la dernière couche, éliminera les petites aspérités du bois. Cet égrenage permettra d’obtenir un superbe aspect et facilitera l’entretien. Il faut proscrire l’utilisation de laine d’acier.
L’huile dure est une version améliorée de l’huile classique. Elle donne une certaine imperméabilité à la pénétration de l’eau. C’est un produit assez technique qui demande une bonne préparation du bois.
En premier on vient poncer la surface avec différents abrasifs pour arriver aux grains 260 ou 280. La surface doit être « polie ». Ensuite, il faut effectuer un très bon dépoussiérage qui sera le gage du bon résultat final. L’huile dure est appliquée ensuite jusqu’à saturation du bois.
Les huiles-cires sont des mélanges d’huiles végétales qui s’appliquent au spalter ou au rouleau. Elles sont ensuite lustrées à la monobrosse équipée d’un pad synthétique. Cette opération permet de faire “chauffer” l’huile afin qu’elle pénètre facilement dans le bois. Ce qui serait très difficile à la main. Ces huiles ne demandent qu’une couche sauf sur des bois absorbants sur lesquels une deuxième couche sera appliquée le lendemain
Une teinte ou un vieillisseur peuvent être appliqués avant l’huile. Dans ce cas, il faudra fixer la teinte avec une huile dure et ensuite appliquer l’huile de finition.
Sur un ancien plancher ciré, il est également préférable d’appliquer cette huile dure. Elle va empêcher un mélange entre les anciennes cires présentes dans le bois et l’huile que l’on va appliquer.
La cire
Une cire liquide s’applique avec une brosse douce ou un chiffon non pelucheux. La plupart du temps, 2 couches suffisent. Mais sur des supports particulièrement absorbants, il est parfois nécessaire d’appliquer 3 couches.
Afin de maximiser la protection du bois contre les tâches, les liquides, il est conseillé de les saturer avec une huile dure avant l’application de la cire.
Cette huile dure permet également une mise en teinte du bois et de bloquer toutes interactions entre la cire et une ancienne finition huilée.
La cire demande un bon lustrage après le séchage de la dernière couche.
Attention : certaines cires ne sont pas compatibles avec les huiles dures. C’est le cas de toutes les cires émulsionnées (nettoyage des outils à l’eau). La protection des fonds se fera avec un fond dur ou impression pour fond, selon les fabricants.
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Important
Comme pour tous produits que l’on applique l’un après l’autre, il faut s’assurer de leur parfaite compatibilité. Pour une sécurité maximale, il est conseillé de ne pas changer de marque entre les produits teintants, de fond et de finition.
L’entretien
Un vitrificateur demande peu d’entretien. L’élimination des tâches se fait au chiffon humide, non ruisselant. Pour prémunir d’une usure prématurée du film protecteur de surface, due par exemple à un trafic important, utilisez un rénovateur, adapté au type du vitrificateur, qui sera appliqué régulièrement sur le plancher.
Un vitrificateur se raye assez facilement, sans altérer sa protection, mais en dégradant son aspect esthétique. Il est conseillé de placer des protections sous les pieds des tables et chaises (patins en feutre par exemple). Un paillasson placé à l’entrée de la pièce retiendra les poussières et surtout les gravillons. Il ne faut pas laisser d’eau ou d’autres liquides stagner sur le parquet vitrifié. Il faut bien isoler les pots de fleurs par exemple. Le calcaire présent dans l’eau va rester sur la surface du plancher après son évaporation. Son élimination va demander un brossage qui va altérer l’aspect brillant du film de surface du vitrificateur.
L’huile demande un entretien plus régulier. Cette régularité permet d’embellir le bois au fil du temps. Une surface huilée doit être dépoussiérée régulièrement afin d’éviter un encrassage du bois. Un savon naturel adapté, dilué dans de l’eau, permet un nettoyage en profondeur.
Ce qui est important pour un parquet huilé, c’est que l’huile à la surface du bois ne disparaisse pas. En effet, l’huile n’est pas filmogène, elle ne crée pas un film protecteur stable à la surface du bois. Par capillarité, l’huile va pénétrer progressivement dans le bois et disparaître de la surface. Une application régulière d’une huile d’entretien est conseillée quand les passages ne sont pas intensifs. Si le parquet est soumis à un passage intensif, il est souhaitable de remplacer l’huile d’entretien par la même huile utilisée pour imprégner le bois. Plus l’entretien est régulier, plus il est aisé.
Une cire se renouvelle régulièrement quand la surface du plancher ne se lustre plus ou difficilement. Comme pour l’huile, il ne faut pas que la surface du plancher soit exempte de cire. Le bois serait alors sans protection et se dégraderait assez rapidement.
Info
L’utilisation d’un balai vapeur sur des parquets vitrifiés ou huilée est déconseillée. Chaleur et humidité vont altérer la protection de surface et la rendre poreuse. Elle sera alors très sensible aux tâches et à l’usure. Sur un parquet ciré, la vapeur d’eau ne va pas nettoyer le parquet, seulement rendre la surface poisseuse.
La rénovation
Le film de surface apporté par la vitrification va peu à peu s’user et se matifier. La surface devient blanchâtre sur les zones de passage. À partir de là, la vitrification ne protège plus le bois. Comme l’on ne peut pas appliquer le vitrificateur simplement sur la zone abîmée, il faut le retirer sur l’ensemble de la pièce. Cela passe obligatoirement par un ponçage à nu du plancher pour retrouver le bois brut. Ensuite, on peut de nouveau appliquer un vitrificateur mais également une huile ou une cire.
Lorsqu’un plancher huilé n’a pas été entretenu depuis longtemps et que la surface est vraiment encrassée, avec des tâches noirâtres inesthétiques, on doit alors le rénover. Cette opération passe obligatoirement par un ponçage du plancher jusqu’au bois brut. À partir de là, on vient remettre de l’huile sur le bois.
Contrairement à un parquet vitrifié, la rénovation peut se faire aux seuls endroits tachés ou abîmés.
On peut appliquer un vitrificateur sur l’ancien plancher huilé et mis à nu. Il faut alors appliquer un fond dur avant la vitrification.
Attention :
Lorsque l’on veut remettre de l’huile sur un ancien parquet huilé, il faut que la nouvelle huile soit compatible avec celle présente dans le bois. C’est pour celà que le ponçage de rénovation doit être profond pour éliminer les traces de l’ancienne huile.
La rénovation d’un parquet ciré est identique à un parquet huilé. Mais la cire est un produit qui pénètre peu dans le bois. Parfois l’usage d’un décireur va permettre de nettoyer la surface sans avoir besoin de poncer en profondeur. On renouvelle alors la cire et on lustre la surface.
La toxicité des produits
Lors de l’application d’une finition pour plancher en bois, vitrificateur, cire ou huile, il est important de connaître la toxicité du produit utilisé. Un étiquetage sur le pot va donner le niveau des émissions de polluants volatils que le produit va dégager dans l’air à l’intérieur du local. Cela va de A+ (très faibles émissions) à C (fortes émissions). La toxicité vient principalement du solvant utilisé, eau ou diluant de synthèse.
Ce qu’il faut aussi indiquer, c’est la rémanence des polluants dans l’air intérieur bien longtemps après l’application du produit. Dans ce cas, c’est le type de résines composants le produit qui entre en jeu. Il existe un label européen (Ecolabel Européen) qui certifie que le produit est conforme aux exigences environnementales et respectueux de l’homme et de l’environnement, répondant aux critères écologiques les plus sévères.
Etiquetage des émissions dans l’air intérieur (COV)
Label certifiant un taux bas de C.O.V, conforme aux exigences environnementales européennes, respectueuses de l’homme et de l’environnement.
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